Pour notre seconde escapade valdotaine de l’automne 2007, nous avions jeté notre dévolu sur un parcours en boucle autour de...
Envisagée comme une petite escapade automnale dans le but de compléter la mise au point d’un potentiel tour du Grand-Combin...
Une magnifique journée lumineuse et claire, à la météo splendide et à la température clémente, au milieu du défilé de...
Quatrième sortie en quatre jours, cette rando initialement envisagée dans le Val d’Aosta, nous a finalement conduit dans le Val...
Après l'annulation du Tour du Grand Combin pour cause de mauvais temps, la météo capricieuse de cet été 2002 nous a enfin permis d'accomplir un vieux rêve : faire le Tour du Mont Blanc (TMB) à VTT, dans le sens anti-horaire.
Au départ nous étions quatre participants inscrits, et au final seulement deux : Serge et Daniel. Nous connaissant très bien pour avoir beaucoup roulé ensemble (notamment en Ethiopie lors d'AbyssiRaid 98), nous décidons de partir à deux en profitant d'une des rares fenêtres météo favorables de cette période estivale qu'il faudra vite oublier.
Au départ nous étions quatre participants inscrits, et au final seulement deux : Serge et Daniel. Nous connaissant très bien pour avoir beaucoup roulé ensemble (notamment en Ethiopie lors d'AbyssiRaid 98), nous décidons de partir à deux en profitant d'une des rares fenêtres météo favorables de cette période estivale qu'il faudra vite oublier.
Ce superbe tour de trois jours autour du massif du Grand Combin (TDC) nous aménera du Val de Bagnes dans le Val d'Aoste, puis le Val Ferret, en franchissant trois cols à plus de 2700m d'altitude. Il remplace le raid Sierre-Léman qui est trop ambitieux pour l'instant, surtout par les chaleurs estivales actuelles. Le TDC aura lieu du 1er au 3 août, pour un petit groupe de vététistes mordus de longues grimpées, de paysages impressionants, d'une flore et d'une faune alpines uniques, et de descentes vertigineuses.
Cette phrase anglaise très connue aurait pu être écrite pour cette petite station valdotaine. Il suffirait de la traduire dans la langue de Dante : « piccolo è meraviglioso », pour qu’elle devienne le slogan de St-Rhémy-Crevacol. Après en avoir longtemps entendu parler, j’ai finalement eu l’occasion de traîner mon snowboard de l’autre côté des Alpes valaisannes, sur le versant sud du col du Grand-St-Bernard, juste à la sortie du célèbre tunnel routier du même nom. Arrivés sur place, la première impression est assez mitigée : une station inférieure lovée dans un lacet de la route internationale, un télésiège qui passe au-dessus de la galerie couverte, et une piste qui passe au-dessous, entre les piles de béton. Ca n’incite pas immédiatement à l’enthousiasme béat. Pourtant, vous avez tort. Les atouts de Crevacol ne sont pas au niveau de la station inférieure, mais plutôt sur les hauteurs. Dès l'approche de la station intermédiaire le charme commence à opérer : quelques splendides bâtisses de pierres sèches, typiques du Val d’Aoste, disséminées entre les courbes d’un relief harmonieux et doux, vous souhaitent la bienvenue. Certaines sont abandonnées, d’autres sont la propriété d’heureux autochtones ou d’autres encore ont été transformées en restaurant d’altitude. Vous n’aurez pas le temps de vous imprégner de l’ambiance chaude et sereine des lieux.