Avec son dénivelé moyen frôlant les 1’000 mètres, son profil en paliers, son itinéraire peu exposé au risques d’avalanche et...
Pour notre seconde escapade valdotaine de l’automne 2007, nous avions jeté notre dévolu sur un parcours en boucle autour de...
L’Assomption est une fête catholique que mon désintérêt pour la chose religieuse m’empêche de vous commenter plus précisément. L’Ascension, en...
Cette rando est habituellement considérée comme l’apothéose de la saison, la sortie à ne pas manquer, la cerise sur le...
Une magnifique journée lumineuse et claire, à la météo splendide et à la température clémente, au milieu du défilé de...
Programmée de longue date, cette sortie ski/snowboard fut d’abord reportée de semaines en semaines, puis ensuite d’une année à l’autre,...
Un chemin illustre, une froide journée de juillet et une bonne dose de motivation. Trois raisons d’entreprendre une sortie VTT...
Cette phrase anglaise très connue aurait pu être écrite pour cette petite station valdotaine. Il suffirait de la traduire dans la langue de Dante : « piccolo è meraviglioso », pour qu’elle devienne le slogan de St-Rhémy-Crevacol. Après en avoir longtemps entendu parler, j’ai finalement eu l’occasion de traîner mon snowboard de l’autre côté des Alpes valaisannes, sur le versant sud du col du Grand-St-Bernard, juste à la sortie du célèbre tunnel routier du même nom. Arrivés sur place, la première impression est assez mitigée : une station inférieure lovée dans un lacet de la route internationale, un télésiège qui passe au-dessus de la galerie couverte, et une piste qui passe au-dessous, entre les piles de béton. Ca n’incite pas immédiatement à l’enthousiasme béat. Pourtant, vous avez tort. Les atouts de Crevacol ne sont pas au niveau de la station inférieure, mais plutôt sur les hauteurs. Dès l'approche de la station intermédiaire le charme commence à opérer : quelques splendides bâtisses de pierres sèches, typiques du Val d’Aoste, disséminées entre les courbes d’un relief harmonieux et doux, vous souhaitent la bienvenue. Certaines sont abandonnées, d’autres sont la propriété d’heureux autochtones ou d’autres encore ont été transformées en restaurant d’altitude. Vous n’aurez pas le temps de vous imprégner de l’ambiance chaude et sereine des lieux.