JeannoTT 02 – Inoubliable, ce n’est que le prénom…

Organisée comme une petite rando d’initiation au « vrai » VTT pour le plus grand bidouilleur d’images de tous les membre d’Alpavista, cette première JeannoTT s’est transformée au fil de la journée en véritable aventure. Les péripéties insolites ont succédé aux incidents cocasses pour faire de cette sortie entre Anzère et le Col du Rawyl, un enchaînement de mini-galères et de maxi-bonheur.


Le plus court est de citer ce qui s’est déroulé de façon habituelle durant cette journée :
– une p’tite heure de retard au rendez-vous de Botyre.
– un départ tonitruant aux aurores, 11H00 du mat’, et à contresens de la désalpe du bétail.
– un temps humide mais finalement assez doux, typique de l’été 2002.
– un bon millier de mètres de dénivelé positif.
– un tronçon de portage.
– des paysages alpins sublimes et sauvages, dans la région de Zeuzier-Col du Rawyl.
– la joyeuse participation des habituels crapahuteurs autochtones.

Pour le volet insolite de la rando, la liste est plus conséquente :
– la présence non-moins joyeuse de PA et Jeannot (forcément pour une sortie portant son nom)
– l’exploit singulier de PA qui a retrouvé le chemin du Valais sans se paumer.
– un temps finalement trop humide et brouillardeux, même pour un automne 02.
– une première partie de descente digne de véritables « Free Riders » débridés.
– un ravito (trop) copieux composé de nombreux et goûteux plats de gibier, mais surtout arrosé à grand renfort de vins rouges locaux.
– une seconde partie de descente d’anthologie en raison des effets désinhibants des divins nectars précédemment cités associés à des tronçons particulièrement techniques ou engagés.
– une série de chutes plus ou moins spectaculaires, mais finalement sans gravité, hormis quelques écchymoses physiques pour certains, morales pour d’autres.
– une succession de crevaisons plus ou moins bruyantes, réparables ou définitives.
– une fin de rando résolument nocturne, sur un single-track étroit, piégeux et parfois vertignieux pour les plus chanceux, à pied et par la route en bitume en poussant le spad, pour le moins fortuné.
– une récup’ très tardive et quelque peu désorganisée par le mauvais caractère de certains véhicules.
– et évidemment, un déchaînement de pourrissages verbaux et de fou rire communicatifs.

PS. Je m’inscris d’ores et déjà pour les 10 prochaines éditions, où quelles soient organisées et quelque soit la météo…