Pierre-à-Voir 2010

Avec une météo caniculaire mais orageuse en diable et une atmosphère très instable, le meilleur plan consiste à privilégier une sortie proche de ses bases et offrant des solutions de repli nombreuses et rapides. Plus simple à écrire qu’à trouver. Pourtant, au troisième expresso du dimanche matin, les paupières finissent par se décoller et la solution nous saute aux yeux à travers la fenêtre de sieur JP : la Pierre-à-Voir, aussi appelée le Cervin pour Japonais pressés de faire une photo du caillou le plus célèbre des Alpes, ne semble attendre que nos roues. Aussitôt dit, aussitôt fait. Direction Riddes, Isérables, la Tsoumaz, puis la Croix-de-Cœur et le Col de la Marlène.

Le reste n’a été finalement qu’une formalité pour un dimanche de juillet ordinaire alternant entre canicule et orage, chaleur et nappes de brouillard, dénivelé positif et sueur au litre, portage et souffle court, descente piégeuse et sueurs froides. As usual, in short…